Nos villes sont de plus en plus remplies de jeunes qui cumulent plusieurs diplômes. Ils se lancent ensuite dans une course effrénée, à la recherche d’un hypothétique travail salarié. Ils se retrouvent sous-payés ou sous-employés pour ceux qui arrivent à décrocher un emploi ; sinon ils viennent grossir les rangs du grand nombre de chômeurs. Bon nombre mènent une vie citadine précaire dans le concept de la vie de plus en plus chère. 

Il y a pourtant pour eux une alternative pour bien gagner leur vie : le retour à la terre. S’il y en a qui s’y résignent, d’autres considèrent cette perspective comme un échec. Ils ont pourtant des exemples de personnes qui renoncent à leur emploi de bureaucrates pour s’adonner à l’agriculture ou à l’élevage et y réussir.

Qu’en pensez-vous ?

Que conseillez-vous à cette jeunesse en quête de mieux vivre ?

Accepteriez-vous de retourner à la terre après vos études ?

Le retour à la terre et l’élevage ne sont–ils pas des choix sûrs pour un avenir meilleur ?

LA DARONNE